Lisa Dasquin
Messages : 4 Date d'inscription : 24/01/2011 Age : 37 Localisation : Verone .
| Sujet: WHERE IS MY FUCK*NG MIND ? . Lisa Bitchess Honey .Dasquin ♣ Lun 24 Jan - 21:06 | |
| (c) LONELY_ANGEL “ DASQUIN Lisa „ ◊ Directe ◊ Entêtée ◊ Sèche ◊ Anxieuse ◊ Prévoyante ◊ Trop sur d'elle ◊ Aimante ◊ Boudeuse
♣ Date de naissance : 21 mars 1987 ♣ Lieu de Naissance : Saint Louis , Missouri , USA ♣ Groupe : L'envie ♣ Statut : Célibataire ♣ Secret : Je me suis mariée, jeune, sans l'autorisation de mes parents. | ♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣ ♣ ♣ (c)miseryangel♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣ “ Histoire „
L'enfance c'est de croire qu'avec le sapin de Noël et trois flocons de neige toute la terre est changée. Mon enfance, malgré tout l'argent dont disposait mes parents n'a pas été des plus heureuse. J'avais certes tout ce que je voulais, je croulait sous les peluches, les poupées et les vêtements de créateurs mais étant d'une famille aristocratique, j'ai du tout au long de mon enfance, apprendre la vie en société, j'ai appris la politesse, recevant une éducation très stricte, m'obligeant dès mon plus jeune âge à utiliser les bons couverts, me tenir correctement, employer un vocabulaire soutenu et être une petite fille modèle. Mon père, était un homme très impressionnant à l'époque, surtout pour une petite fille d'un mètre vingt. Il avait toujours cet air rigide et froid sur le visage, à me faire des réflexions sur ma tenue en société. Jamais il n'était tendre avec moi, il était celui qui avait assuré à ma mère et à moi même une vie remplie d'argent et il estimait que cela remplaçait l'amour paternelle. Je ne lui ai jamais pardonné ça. Ma mère, une hystérique de première classe, plus intéressée par son apparence et par l'image de la famille Dasquin que par ses propres filles. J'ai oublié de préciser une chose importante, nous étions trois sœurs, des têtes brunes parfaitement bien élevé et ayant quelques mois d'écart seulement. J'ai été à l'école, comme toutes les petites filles, mais j'étais bien évidement dans une école pour riche, autant dire que la discipline était le mot d'ordre. Alors je me pliais aux règles et je prenais même la place de la reine, simplement pour ne pas me faire marcher sur les pieds par les autres. Enfin, je partageais le trône avec mes deux autres sœurs, c'est clair, nous faisions tout, toutes les trois, soudées et inséparables. Je n'avais pas d'amis, simplement mes sœurs et notre chaton que nous avions eu pour la rentré. Il s'appelait Freedom, et c'est vrai qu'au fond, nous rêvions de liberté ..
L'adolescence est une emphase : elle est sensible à la bassesse, plus encore qu'à l'erreur. Nos parents ont réussit leur coup, ils sentaient bien qu'au fils des années, en grandissant, nous devenions plus forte et que la révolte allait éclater. Mais, ils ont trouvé un moyen pour éviter le pire. Voilà qu'à la rentrée du lycée, j'étais expédiée à l'autre bout du Missouri, et mes deux autres sœurs elles aussi dispersées à travers l'Etat. Nous n'avions plus aucune façon de se battre ensemble, et pourtant nous la voulions cette liberté. Nous rêvions de vivre notre vie comme on le voulait, ne plus être sermonnées sans cesse par notre père et critiquer par notre mère. L'aristocratie ne nous allait pas et chacune de notre côté, nous décidâmes d'exploser, chacun à notre façon, juste pour déranger nos parents et briser ce à quoi ils tenaient le plus; leur réputation. Me voilà donc, adolescente, avec pour mission de partir en freestyle. Rien de plus simple, j'avais décidé de me tenir comme une jeune fille exécrable. Cette attitude me valu la connaissance d'un jeune homme, beau comme un dieu et aussi révolté que moi. Je tombai littéralement amoureuse de lui, il me donnait tout un tas de drogue, il me faisait rire et m'emmenait voyager avec lui chaque seconde que je passais avec lui. Il était mon rayon de soleil, et il compensait l'absence de mes sœurs. Nous vivions le parfait amour et persuader que nous étions fait l'un pour l'autre, nous nous marions, dans le secret. Lui était aussi issus d'une famille coincée et cette idée de nous unir tout en exposant nos familles à la faillite nous faisait jubiler. Sans hésité alors, je devins alors Madame Wenworthy, mais très vite, notre histoire tourna à la simple utopie. Nous étions trop jeunes, nous avions des envies de découvertes différentes et le divorce se fit discrètement. Mes parents ne me pardonnèrent jamais cet écart, et après tout c'était tant mieux. Sans cœur, il me déshéritèrent et ma carte bancaire pourtant pleine depuis des années se vida en quelques secondes. J'étais seule dans la jungle de la vie.
Devenir adulte, c'est reconnaître, sans trop souffrir, que le "Père Noël" n'existe pas. underconstruction
♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣ “ Caractère & Physique „ En 15 lignes décris nous un peu qui tu es.... ♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣♣ “ Toi derrière le PC „ ♣ Nom ou Pseudo : Louise & What Elsee.♣ Age : 18 ans♣ Fréquence de connexion : Entre 4 et 6 jours par semaine.♣ Comment avez-vous connu le fo : Black Corp ! ♣ Code règlement : Devil or Angel♣ Qui est sur ton avatar : Leighton Sexy Meester. ♣ Modèle de Rp : - Spoiler:
Même après de longues années de séparation, Tyson reconnaissait parfaitement Sophia. Elle avait gardé le même regard noisette, profond. Il aurait pu le reconnaître parmi mille tant il s'était noyer dedans à mainte et mainte reprises. Mais pourtant, il n'arrivait pas à retrouvé le jeune fille qu'elle avait été, celle dans ses souvenirs. Elle était beaucoup plus femme, plus sérieuse, peut être que la situation n'était pas des meilleures pour retrouvée une meilleure amie d'enfance qu'on a eu l'habitude de voir plus souvent avec le sourire plutôt qu'avec les larmes. C'était assez dur pour Tyson de retombé sur elle, dans un moment comme celui là. Il trouvait qu'il était bien trop doux avec les autres, il s'occupait beaucoup d'Hayden, il voyait Serena et n'avait plus le temps pour être le sale type qu'il avait été et comme par hasard, il retrouva Sophia lorsqu'il était dans cette phase de doutes. C'était elle qui avait fait réellement plongé Tyson dans la débauche pour la première fois de sa vie. Bien sûr, avant il buvait et se droguait mais pas autant que par la suite. Une fois que Sophia avait brisé son cœur, il ne voulait plus croire en rien, il était rentré à New York, et avait sombré complètement dans la débauche. Il se souvient encore parfaitement de tous les détails qui avait sonné la fin de sa vie heureuse.
Le matin était pluvieux. Le ciel gris et couvert cachait les rayons du soleil qui, habituellement, forçaient les volets en bois de la chambre. Ce matin donc, l'obscurité demeurait dans la chambre alors que onze heure approchait. Comme depuis une semaine, il se réveillait à côté de Sophia, il sentait sa chaleur réchauffer son corps, il sentait son parfum enivrant et souvent même, quelques mèches de ses cheveux blonds venaient chatouiller son cou. Chaque matin, il était heureux. Mais ce matin, il faisait sombre et les draps du lit étaient frais. Il n'avait comme parfum, seulement le goût du premier et unique baisé sur le bout des lèvres. L'espace semblait vide, et le silence était pesant. Habituellement, la respiration de Sophia rythmait les réveils de Tyson. Mais ce matin, rien. Il n'osait pas ouvrir les yeux de peur de ne pas voir son visage d'ange endormit. Il se plaisait à penser qu'elle était encore là, tout près de lui, mais pourtant une voix dans le fond de son esprit lui murmurait qu'il était bel et bien seul. Il était rare qu'il ne se réveille pas avec une douleur grinçante à la tête, l'habitude qu'il avait de boire lui faisait plus de mal que de bien, et pourtant il n'avait pas touché à l'alcool depuis une semaine, pour elle , pour ses yeux. Il devenait un homme bien avec elle. Toutes les mauvaises choses que son père avait laissé arriver, disparaissait dans l'unique but de la rendre heureuse. Tyson était encore jeune certes, mais son univers lui arrachait son adolescence, il grandissait trop vite et il ne le savait pas encore mais ce matin marquerait définitivement l'accélération de sa chute et l'entrée dans le monde des grands, la vie sauvage où on se retrouve totalement seul face à soit même. Ce matin aussi, il allait être seul. Ouvrant un œil, puis le deuxième, son cœur se serra. Elle n'était plus là. Il se réveillait toujours avant elle mais l'exception pouvait arriver. Il ne perdait pas espoir. Soulevant la couette blanche, un courant d'air frais donna un rapide frisson à Tyson, qui lui parcourut l'échine. Dans un caleçon bleu nuit, il quitta la chambre. Dans le grand couloir vaste, il aperçut son reflet dans le miroir. Ses cheveux étaient en bataille, ses yeux petits et ses joues encore marquées par les plis de son oreiller. Il n'avait pas bonne mine, un seul sourire pourrait illuminer ce visage endormit. Mais la panique l'envahissait plus il s'approchait de la cuisine. Sophia vivait habituellement dans la luminosité et le bruit mais tout demeurait sombre et silencieux. Un nouveau frisson le parcourut, mais cette fois ci c'était l'appréhension. Elle n'était vraiment pas là. Il alluma la lumière de la cuisine et le led lumineux aveugla un court instant les yeux du prince. Il haussa les épaules, la salle de bain était son dernier espoir , elle était bien du genre à s'y enfermer durant des heures. Mais encore une fois, la pièce était plongée dans l'obscurité. Il poussa la porte du bout des doigts et découvrit avec horreur que l'étagère destiné aux produits de beauté de Sophia était désespérément vide. Son coeur venait de se serrer encore un peu plus. C'était impossible, elle ne pouvait être partie. Il quitta la salle de bain et retourna dans la chambre. Il s'assit au bout du lit, les coudes sur les genoux. Son regard rempli d'incompréhension se jetait dans le vide. La veille, Sophia avait déposé ses vêtements sur le fauteuil, dans le coin, ils avaient disparut. Ses vêtements dans l'armoire s'étaient volatilisé, au même titre que son sac, ses affaires de toilette et même pire; Elle avait disparut, elle. Comment avait-elle pu faire ça ? Il ne comprenait pas. Après ce qu'il s'était passé hier: le premier baisé, la concrétisation de leur amour, le plongeon dans une histoire sérieuse, l'au revoir à leur meilleure amitié .. Comment pouvait-elle lui infligé une telle humiliation ? Lui qui jouait avec les femmes, Sophia était l'unique qui échappait à cette règle, et au final c'était elle qui avait joué avec lui. Triste réalité qui apportait une immense tristesse dans le cœur de Tyson. Mais il n'allait pas laisser une femme le blesser, il était bien trop fier pour ça . Dans le mini bar de la chambre, il se servit un verre de whisky qu'il s'enfila d'un coup. Elle lui avait fait du mal et il lui avait donné sa confiance. A présent, il allait la rayer de sa vie, de son cœur et de son esprit. Plus facile à dire qu'à faire ..
Et au final, il n'avait jamais vraiment oublié Sophia, mais il se criait le contraire pour continuer de vivre dans la fierté. Il était complètement indigné par ce qu'elle lui disait, après avoir été blesser comme il l'avait été, il en était presque indigner. Il se calma soudain, se rendant compte à quel point les mots de Sophia le blessait. Elle pensait des choses totalement fausses, alors que c'était elle qui était partie.
_ Tu pense réellement ça de moi Sophia ? Que j'ai joué avec toi ? Je me suis retrouvé en Australie, un matin, seul , sans aucune trace de toi et tu appelle ça jouer avec toi ? Très sincèrement Sophia, je te connaissait briseuse de cœur mais menteuse et de mauvaise fois, ça , Je le découvre !
Il en était presque dégoûter d'entendre Sophia lui dire qu'il avait joué avec son coeur. Il écouta la suite de ses paroles, et son visage prit un air sombre. Elle se foutait d'elle, c'était impossible autrement. Il était sincèrement blessé, l'entaille s'était réouverte. Il laissa Sophia lui hurler dessus, elle se calma par la suite, lui demandant si lui aussi était amoureux d'elle. Il garda le silence durant plusieurs longues secondes, il faisait un énorme travail sur lui même pour ne pas craquer et il lâcha, d'une voix neutre, parfaitement maîtrisé et totalement vide de sentiment.
_ De toute façon, qu'est ce que ça changerait ?
Sophia l'avait blessé avec ses mots ce soir, il il ne le montrerait jamais, mais il se devait à son tour de la blesser, pour aller mieux. Il ne voulait pas faire une telle chose, mais il n'avalait pas les paroles de la belle blonde .. elle se trompait sur son compte , elle lui mentait, tentait de prendre cette histoire à son avantage, elle n'était plus la Sophia qu'il avait connu.
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Dernière édition par Lisa Dasquin le Mer 26 Jan - 21:48, édité 2 fois | |
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